dimanche 19 mai 2013

Chroniques de France Delville sur art Côte d'AZur


  • Merci à France Delville, porteuse d'eau, de sens, et mémoire parlante de l'art/pensée -  qui se joue/ s'est joué à Nice et sur la côte et ailleurs -   pour ces écrits/ témoignages -  travaux et vidéo réalisés  vers 2000)
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  • " Il fallait rappeler l'extraordinaire travail de partage, et de mise en lumière, de pensées constructives, et non destructrices, effectué par Carol Shapiro, qui se poursuit encore aujourd'hui sur son site, mais qui avait été magnifiquement mis en pages dans la Revue Alias, au début des années 1990, Alias, revue fondée par elle. Carol est aussi un magnifique peintre, et un poète sensible."
    France Delville





  • Carol Shapiro

    Carol Shapiro, peintre, chercheur, poète… et j’en passe… Carol Shapiro a toujours été la discrétion faite femme, pourtant la belle (...)

 


  • Carol S

    Dans ALIAS, une mathématique pour pépites d’or… Le texte de Benoît Mandelbrot du premier numéro de la revue Alias était accompagné (...)




  • Carol S

    Alias « Spécial Xénophobie » début 1992 Le n°10 (début 1992) d’Alias, spécial xénophobie, dans son éditorial comportait d’abord un (...)





  • C S

    Le porte-folio « L’Atelier Vence 1990 »… … fut une belle aventure, rapportée dans le n°5 d’Alias, la rencontre de quelques artistes (...)






  • C S

    Apparition de Michel Gaudet dans la revue Alias Dans le n°3, Michel Gaudet écrit sur Dominique Landucci : « Les toiles rouges (.





  • "La vache et l’olivier

    J’ai eu le plaisir de retrouver des contes écrits par Carol Shapiro, où la surprise des mots, le raffinement et l’humour surréel masquent très pudiquement des tragédies humaines, mais d’où émerge à chaque fois une issue de sagesse… l’issue d’un Art du Possible, peut-être…
    En attendant les œuvres complètes, voici son conte le plus court, une sorte de tendre Genèse…

    « Un sordide désordre emportait les lieux dans un torrent trop rapide pour être ni vu, ni suivi, ni parcouru. Pêle mêle tout basculait et les animaux sur les rives assistaient impuissants à cette démoniaque cérémonie. Le torrent gagna en richesse et en profondeur, traversait les cours, les places, et les routes placides. L’orage s’en mêla et le torrent à moitié fou s’enivra dans l’épanchement tempétueux. L’eau arriva, chargée d’indescriptible enchevêtrement, jusqu’à l’oliveraie encore chargée de chaleur estivale, et le torrent ivre se dirigea vers une sorte d’arène profonde que les arbres entouraient, et s’y jeta. C’est alors qu’arriva en ce lieu un jeune animal qui, emporté dans un zèle curieux, plongea dans ce mélange de matière et de cendres.. Il ne sut rien comprendre tant la complexité des choses était absurde. Il ressortit de l’eau, et, comme apaisé alla se coucher sous un de ces arbres qui donnèrent l’aliment des premières lumières. Il s’y endormit »."

    (texte  écrit ) vers 1985
    (...)













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