jeudi 12 août 2010

toiles et réverbères : comment sortir

à Jonathan Hecht

il a fallu une journée entière, de rencontre et de travail, de recherche et d'oublis. Alors, d'un coup, ça survient comme un orage d'août, comme un solstice. Un truc nous fait signe, une grenouille, un zèbre à la télé. Une plante qui se plie vers la lumière. Et on n'est plus là. Dans le jardin diraient les maîtres zen. Juste là où le saut quantique nous envole, sans oublier aucune barbarie d'ici, mais juste assez pour trouver le pas à faire, encore....




huile sur toile/collage indiens 2010-C.S


en réponse à

je te souhaite "assez", poésie communiste et libérale, collective et singulière à la foi - anonymous


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